0
couvertures
support
dim
titre
sous-titre
auteur
type
thème
parution
ean
éditeur
collection
rayon
prix
impression à la demande
disponibilité
|
+ oups
|
|
|
larg. |
haut. ? |
titre – + ? | |
auteur – |
type |
thème |
parution + |
ean |
éditeur |
collection |
rayon |
prix – |
IAD |
disponibilité? |
x
|
|
|
23
|
30
|
242 p.
|
Bételgeuse- l’intégrale
T
|
Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
|
SF
|
2006
16/11/06
|
9782205059304 |
Dargaud
|
|
|
BD
-anticipation
|
39,00 €
39.00
|
|
épuisé, réédité avec l'ean 9782205079203
|
AA
AA
Les deux cycles existants de la collection des Mondes d’Aldébaran constituent incontestablement l’une des plus captivantes séries de science-fiction de ces dernières années. L’auteur y raconte l’effort de l’Humanité dans ses premières tentatives pour coloniser des planètes lointaines. Kim, confrontée à bien des aventures et des défis, débute son périple sur la planète Aldébaran puis sur Bételgeuse.
Elle croisera d’étranges créatures, affrontera les dangers de mondes inconnus et subira les dégâts provoqués par la folie des hommes. Leo, son auteur, met en scène dans Alébarban puis Bételgeuse et bientôt Antarès, une fantastique épopée humaniste.
|
x
|
|
|
22,5
|
30
|
57 p.
|
Antarès - épisode 1
T
|
Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
|
SF
|
2007
20/04/07
|
9782205058895 |
Dargaud
|
|
Les Mondes d’Aldébaran
|
BD
-anticipation
|
12,00 €
12.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Les trois cycles existants de la collection des Mondes d’Aldébaran constituent incontestablement l’une des plus captivantes séries de science-fiction de ces dernières années.
L’auteur y raconte l’effort de l’Humanité dans ses premières tentatives pour coloniser des planètes lointaines. Kim, confrontée à bien des aventures et des défis, débute son périple sur la planète Aldébaran. Elle croisera d’étranges créatures, affrontera les dangers de mondes inconnus et subira les dégâts provoqués par la folie des hommes. Leo, son auteur, met en scène, dans Aldébaran puis Bételgeuse et Antarès, une fantastique épopée humaniste.
|
x
|
|
|
24,1
|
31,9
|
610 p.
|
La vie en rose
ou l’obsessionnelle poursuite du bonheur
T
|
Cestac Florence B Elle est née un 18 juillet à Pont-Audemer. Après une scolarité modeste (pas de diplômes trop voyants), elle intègre en 1965 les Beaux-Arts de Rouen et en 1968 les Arts décoratifs de Paris.
Elle dessine pour Salut les copains, Lui, 20 ans, et rencontre Étienne Robial, avec qui elle ouvre en 1972 la première librairie de bande dessinée parisienne et fonde en 1975 les éditions Futuropolis. Dans le feu de l’action, elle devient maquettiste, emballeuse, livreuse, photograveuse, traductrice, nounou d’auteurs, attachée de presse et directrice de collection. Elle voit défiler dans son bureau toutes sortes de jeunes talents en friche, pas toujours bien peignés ni très polis, et racontera cette expérience enrichissante avec Jean-Marc Thévenet dans un livre intitulé Comment faire de la bédé sans passer pour un pied-nickelé.
Parallèlement, elle crée le personnage de Harry Mickson : une sorte de haricot (le haricot dodu du cassoulet, pas le modèle régime) vêtu d’une salopette-short d’où émergent quelques bras et jambes caoutchouteux, un gros nez et un béret directement vissé à la cervelle. Ce rejeton illégitime de Mickey Mouse, qui se balade dans (À Suivre), Métal hurlant et Charlie, est promu mascotte de Futuropolis et du Mickson B.D. Football-Club. Elle reçoit en 1989 l’Alph’art de l’humour d’Angoulême pour Les Vieux Copains pleins de pépins, et crée les aventures de Gérard Crétin dans Mikado.
Dans Le Journal de Mickey, elle transforme la rubrique jeux des Déblok en bande dessinée. En 1997, elle récolte un deuxième Alph’art de l’humour pour Le Démon de midi, hilarante tragédie post-conjugale où l’on voit un quadragénaire quitter son épouse usagée pour une plus fraîche. Ce chef-d’ouvre d’humour vache, désarmant de franchise, est adapté au théâtre par Michèle Bernier et Marie Pascale Osterrieth, où il connaît un énorme succès.
Inondant la presse (Play-Boy, Cosmopolitan, L’Hebdo des juniors, Quo, etc.) de ses dessins humoristiques à "gros nez", elle rapatrie la famille Déblok chez Dargaud en 1997. En 1998 paraît La Vie en rose, album retraçant la jolie vie de Noémie, monomaniaque du ravissement. En 1999, c’est Du sable dans le maillot (dans le genre projection des diapos de vacances), et en 2000, Les Phrases assassines, avec Véronique Ozanne - un recueil, cruel et tordant, des ces petits mots doux qui vous envoient un môme en analyse pour quinze ans.
D’autre part, depuis 1993, Florence expose ses œuvres hors BD (souvent en trois dimensions) à la galerie Christian Desbois : 1993 : Œuvres récentes 1994 : Trophées 1996 : L’obsédante image de la biche au bord de l’eau 2000 : Piquante ! En 2000, elle reçoit le Grand Prix de la ville d’Angoulême, ce qui fait d’elle la présidente d’Angoulême 2001, avec jury presque exclusivement féminin et rétrospective passionnante de son œuvre. En 2002, elle publie La Vie d’artiste (autobiographique à quelques broutilles près), et en 2004, Super Catho sur un scénario de René Pétillon (une enfance catho dans la Bretagne des années 50). En 2005, alors que Le Démon de midi est porté à l’écran, elle lui donne une suite finement intitulée Le Démon d’après midi. |
humour
|
bonheur
|
1998
13/11/98
|
9782205045901 |
Dargaud
|
|
Cestac pour les grands
|
BD
-humour
|
14,00 €
14.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Au début, Néomie est un fœtus heureux : pas de poubelles à descendre, pas de PV, pas de concurrence, c’est la béatitude amniotique. Petite fille, bien que très affectée par la mort de la maman de Bambi, elle crapahute dans les verts pâturages de l’enfance avec un entrain qui ressemble beaucoup au bonheur. Mais voilà qu’un jour, elle devient une vraie femme en état de marche et étrenne son premier soutif ce qui l’emballe moyennement. Il faut dire que nous sommes avant 68, avant l’invention du tampax et du féminisme, autant dire au Moyen Age. Elle étrenne aussi son premier prince charmant, et c’est là que les choses se compliquent. D’amours foirées en extases "chimiques" plutôt réussies, elle va s’en prendre plein la poire, jusqu’à ce que lui vienne cette sagesse qui consiste à capter les petits bonheurs au lieu de cavaler après l’escroquerie du siècle : le gros bonheur bien cadré et obligatoire.
"Prends du bleu, prends du rose et touilles, tu obtiendras la couleur de l’hématome", dit Jean Teulé dans sa préface. Cestac étant imbattable pour nous dessiner les grands enthousiasmes pétaradants et les déconvenues qui s’ensuivent, cette vie couleur hématome, racontée avec franchise et crudité, est tordante. Les filles s’y retrouveront spontanément, et les garçons auront entre les mains un document utile sur le "mystérieux" fonctionnement des filles. Mais l’album s’adresse surtout à ceux qui, parfois, doutent de la "qualité" de leur bonheur. Ils verront que tout est relatif et que la poursuite du bonheur sous toutes ses formes, en solitaire ou en famille décomposée, recomposée, etc…, c’est comme la chasse au dahu. On revient bredouille mais on s’en fout. Ce qui compte, c’est la balade et le pique-nique. Voilà une pensée revigorante, n’est-il pas ?
|
x
|
|
|
24
|
32
|
64 p.
|
Comment faire de la "bédé" sans passer pour un pied-nickelé
T
|
Cestac Florence B Elle est née un 18 juillet à Pont-Audemer. Après une scolarité modeste (pas de diplômes trop voyants), elle intègre en 1965 les Beaux-Arts de Rouen et en 1968 les Arts décoratifs de Paris.
Elle dessine pour Salut les copains, Lui, 20 ans, et rencontre Étienne Robial, avec qui elle ouvre en 1972 la première librairie de bande dessinée parisienne et fonde en 1975 les éditions Futuropolis. Dans le feu de l’action, elle devient maquettiste, emballeuse, livreuse, photograveuse, traductrice, nounou d’auteurs, attachée de presse et directrice de collection. Elle voit défiler dans son bureau toutes sortes de jeunes talents en friche, pas toujours bien peignés ni très polis, et racontera cette expérience enrichissante avec Jean-Marc Thévenet dans un livre intitulé Comment faire de la bédé sans passer pour un pied-nickelé.
Parallèlement, elle crée le personnage de Harry Mickson : une sorte de haricot (le haricot dodu du cassoulet, pas le modèle régime) vêtu d’une salopette-short d’où émergent quelques bras et jambes caoutchouteux, un gros nez et un béret directement vissé à la cervelle. Ce rejeton illégitime de Mickey Mouse, qui se balade dans (À Suivre), Métal hurlant et Charlie, est promu mascotte de Futuropolis et du Mickson B.D. Football-Club. Elle reçoit en 1989 l’Alph’art de l’humour d’Angoulême pour Les Vieux Copains pleins de pépins, et crée les aventures de Gérard Crétin dans Mikado.
Dans Le Journal de Mickey, elle transforme la rubrique jeux des Déblok en bande dessinée. En 1997, elle récolte un deuxième Alph’art de l’humour pour Le Démon de midi, hilarante tragédie post-conjugale où l’on voit un quadragénaire quitter son épouse usagée pour une plus fraîche. Ce chef-d’ouvre d’humour vache, désarmant de franchise, est adapté au théâtre par Michèle Bernier et Marie Pascale Osterrieth, où il connaît un énorme succès.
Inondant la presse (Play-Boy, Cosmopolitan, L’Hebdo des juniors, Quo, etc.) de ses dessins humoristiques à "gros nez", elle rapatrie la famille Déblok chez Dargaud en 1997. En 1998 paraît La Vie en rose, album retraçant la jolie vie de Noémie, monomaniaque du ravissement. En 1999, c’est Du sable dans le maillot (dans le genre projection des diapos de vacances), et en 2000, Les Phrases assassines, avec Véronique Ozanne - un recueil, cruel et tordant, des ces petits mots doux qui vous envoient un môme en analyse pour quinze ans.
D’autre part, depuis 1993, Florence expose ses œuvres hors BD (souvent en trois dimensions) à la galerie Christian Desbois : 1993 : Œuvres récentes 1994 : Trophées 1996 : L’obsédante image de la biche au bord de l’eau 2000 : Piquante ! En 2000, elle reçoit le Grand Prix de la ville d’Angoulême, ce qui fait d’elle la présidente d’Angoulême 2001, avec jury presque exclusivement féminin et rétrospective passionnante de son œuvre. En 2002, elle publie La Vie d’artiste (autobiographique à quelques broutilles près), et en 2004, Super Catho sur un scénario de René Pétillon (une enfance catho dans la Bretagne des années 50). En 2005, alors que Le Démon de midi est porté à l’écran, elle lui donne une suite finement intitulée Le Démon d’après midi. , Thévenet Jean-Marc BJe suis né la même année que la DS Citroën, véhicule révolutionnaire s’il en est, une sorte de Turbotraction que Franquin lui-même n’aurait pas reniée. J’oserai donc affirmer que ce fut un excellent cru.
Puis le temps a passé, trop vite. Après que mes études supérieures m’aient poursuivi à une époque, le milieu des années 70, où il était de bon ton de faire des humanités et non du marketing ou une école de commerce, j’ai décroché un DEA de Lettres Modernes. J’échangeai alors l’amical campus de Nanterre et ses fastes (mais ceci est une autre histoire) contre les tumultes de la vie active.
Je fus sauvé d’un sombre anonymat grâce à la bienveillance d’un homme, un seul, Guy Vidal. Déjà lui ! En pleine période disco, et des shows télés des Carpentier, d’abonné au magazine Pilote je passai au statut de salarié. Sacré Guy ! Cette expérience professionnelle me fit rencontrer une longue cohorte de jeunes légionnaires, Bilal, Druillet, Veyron, Pétillon, Baru… (pour l’adjectif jeune, je rappelle que nous étions au début des années 80).
Mais persuadé que sommeillait en moi la dimension d’un tycoon de la presse, je tentai en 1984, l’expérience de l’Hebdo des Savanes (à cette époque, L’Echo des Savanes était devenu hebdomadaire) en compagnie de Thierry Ardisson. Ce fut beau mais aussi bref que le passage de la Comète de Halley, l’expérience ayant duré moins de deux mois !
Je devins alors un des membres de la famille Futuropolis en compagnie d’Etienne Robial et de Florence Cestac sans oublier Dugenou et Le Ratier. Il faudrait ici un ouvrage aussi épais que Guerre et Paix pour évoquer les passages inopinés mais constants d’Edmond Baudoin, Farid Boudjellah, et bien d’autres… Vivre à Futuropolis, c’était encore mieux que dans une sitcom. Journées inoubliables que nous immortalisâmes avec Florence Cestac dans « Comment faire de la bande dessinée sans passer pour un pied-nickelé ». Je m’occupais à Futuropolis d’une collection, la collection X (collection qui n’était pas sans un clin d’œil à l’œuvre trop souvent méprisée par Télérama de Marc Dorcel mais X, faute d’avoir trouvé un autre titre…). Nous avons publié les nouveaux de l’époque : Jean-Christophe Menu, Matt Konture, Mokeit, Jean-Claude Gotting, Miles Hyman…
Fort du succès de L’Hebdo des Savanes, je tentai à nouveau l’aventure de la presse, dite people, avec le magazine Max où durant plusieurs années, j’échangeai des rendez-vous avec de solides gaillards et leur carton à dessins contre des prises de vue avec des top-models sous le soleil de Floride. (NDLR : une bio doit toujours optimiser les évènements d’une vie).
Puis, je fis un rapide passage à la télévision où je m’aperçus que je ne possédais pas le niveau culturel ni le nombre de mots de vocabulaire suffisant pour y faire carrière. Nul n’est parfait.
La bande dessinée me manquait, tant son univers que ses auteurs.
J’ai eu la chance, en 1998, d’être adoubé afin de diriger le Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême.
Belle et forte mission, immense tâche et grand bonheur concernant ce Festival seront les quelques mots de conclusion de cette provisoire biographie. |
|
|
2001
18/01/01
|
9782205050660 |
Dargaud
|
|
Cestac pour les grands
|
Divers
|
13,99 €
13.99
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
La bande dessinée (la "bédé") exerce toujours une vraie fascination auprès des jeunes générations.
Chaque éditeur spécialisé reçoit, en moyenne, au moins une trentaine de propositions par mois. Florence Cestac - cofondatrice des éditions Futuropolis, avant de devenir la présidente du Festival 2001 d’Angoulême - et Jean-Marc Thévenet, directeur général de ce même Festival, nous offrent une galerie de portraits hilarants d’un certain nombre de ces jeunes gens qui veulent faire ce drôle de métier où les rêves se matérialisent en bulles.
Comme du champagne !
|
x
|
|
|
24
|
32
|
56 p.
|
Le démon d’après
midi
T
|
Cestac Florence B Elle est née un 18 juillet à Pont-Audemer. Après une scolarité modeste (pas de diplômes trop voyants), elle intègre en 1965 les Beaux-Arts de Rouen et en 1968 les Arts décoratifs de Paris.
Elle dessine pour Salut les copains, Lui, 20 ans, et rencontre Étienne Robial, avec qui elle ouvre en 1972 la première librairie de bande dessinée parisienne et fonde en 1975 les éditions Futuropolis. Dans le feu de l’action, elle devient maquettiste, emballeuse, livreuse, photograveuse, traductrice, nounou d’auteurs, attachée de presse et directrice de collection. Elle voit défiler dans son bureau toutes sortes de jeunes talents en friche, pas toujours bien peignés ni très polis, et racontera cette expérience enrichissante avec Jean-Marc Thévenet dans un livre intitulé Comment faire de la bédé sans passer pour un pied-nickelé.
Parallèlement, elle crée le personnage de Harry Mickson : une sorte de haricot (le haricot dodu du cassoulet, pas le modèle régime) vêtu d’une salopette-short d’où émergent quelques bras et jambes caoutchouteux, un gros nez et un béret directement vissé à la cervelle. Ce rejeton illégitime de Mickey Mouse, qui se balade dans (À Suivre), Métal hurlant et Charlie, est promu mascotte de Futuropolis et du Mickson B.D. Football-Club. Elle reçoit en 1989 l’Alph’art de l’humour d’Angoulême pour Les Vieux Copains pleins de pépins, et crée les aventures de Gérard Crétin dans Mikado.
Dans Le Journal de Mickey, elle transforme la rubrique jeux des Déblok en bande dessinée. En 1997, elle récolte un deuxième Alph’art de l’humour pour Le Démon de midi, hilarante tragédie post-conjugale où l’on voit un quadragénaire quitter son épouse usagée pour une plus fraîche. Ce chef-d’ouvre d’humour vache, désarmant de franchise, est adapté au théâtre par Michèle Bernier et Marie Pascale Osterrieth, où il connaît un énorme succès.
Inondant la presse (Play-Boy, Cosmopolitan, L’Hebdo des juniors, Quo, etc.) de ses dessins humoristiques à "gros nez", elle rapatrie la famille Déblok chez Dargaud en 1997. En 1998 paraît La Vie en rose, album retraçant la jolie vie de Noémie, monomaniaque du ravissement. En 1999, c’est Du sable dans le maillot (dans le genre projection des diapos de vacances), et en 2000, Les Phrases assassines, avec Véronique Ozanne - un recueil, cruel et tordant, des ces petits mots doux qui vous envoient un môme en analyse pour quinze ans.
D’autre part, depuis 1993, Florence expose ses œuvres hors BD (souvent en trois dimensions) à la galerie Christian Desbois : 1993 : Œuvres récentes 1994 : Trophées 1996 : L’obsédante image de la biche au bord de l’eau 2000 : Piquante ! En 2000, elle reçoit le Grand Prix de la ville d’Angoulême, ce qui fait d’elle la présidente d’Angoulême 2001, avec jury presque exclusivement féminin et rétrospective passionnante de son œuvre. En 2002, elle publie La Vie d’artiste (autobiographique à quelques broutilles près), et en 2004, Super Catho sur un scénario de René Pétillon (une enfance catho dans la Bretagne des années 50). En 2005, alors que Le Démon de midi est porté à l’écran, elle lui donne une suite finement intitulée Le Démon d’après midi. |
BD, humour
|
|
2005
02/09/05
|
9782205056730 |
Dargaud
|
|
Cestac pour les grands
|
BD
-humour
|
13,99 €
13.99
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Rappelez-vous Noémie, l’héroïne du Démon de midi,
fracassée par le départ de son conjoint vers de plus vertes prairies...
La revoici dix ans plus tard,
nettement ravigotée le temps d’un week-end à la mer avec les copines. Il pleut, mais " ça va se lever " et, en attendant, on attaque le tourteau-mayo, le petit blanc et les souvenirs, dans un joyeux coq-à-l’âne de fous rires, de coups de blues, de tendresse et de vacherie. Un concentré de vie, avec vue imprenable sur la complicité féminine.
|
x
|
|
|
22
|
29
|
329 p.
|
Brassens
T
|
Sfar Joann BIl naît à Nice en 1971, d’une mère chanteuse et d’un père avocat.
Il grandit dans la culture juive, ashkénaze et séfarade à la fois, apprend l’hébreu et les préceptes de la Torah, mais fréquente l’école publique. Très tôt, et avec l’abondance qui le caractérise encore aujourd’hui, il invente et dessine des histoires, lui dont le patronyme vient de sofer, « scribe » en hébreu. Dès l’âge de quinze ans, il envoie à des éditeurs un projet de bande dessinée par mois, que tous lui refusent avec la même régularité. Plus tard, il rencontre Fred, Baudoin et Pierre Dubois, qui resteront pour lui de véritables pères spirituels.
Après une maîtrise de philosophie à l’université de Nice, il entre aux Beaux-Arts de Paris et se passionne pour les cours de morphologie. En 1993, il passe la porte de l’atelier Nawak, futur atelier des Vosges, où il fera la connaissance de Lewis Trondheim, David B., Jean-Christophe Menu, Emmanuel Guibert, Christophe Blain, Émile Bravo, Marjane Satrapi.
Un beau mois de 1994, trois maisons différentes lui proposent d’éditer son travail. Son premier album, "Noyé le poisson", est publié cette année-là par L’Association. Depuis, avec un foisonnement qui n’a que l’apparence du désordre, Joann Sfar compose une œuvre d’une originalité absolue. La profondeur de ses histoires n’exclut jamais la drôlerie ou la sensualité. Ses personnages ont la truculence de ceux d’Albert Cohen. Et le plaisir de dessiner est chez lui aussi communicatif que chez Quentin Blake. Il est de ceux grâce auxquels la bande dessinée s’est éveillée à une vie nouvelle. |
BD
|
|
2011
10/03/11
|
9782205066975 |
Dargaud
|
|
|
BD
-doc
|
39,00 €
39.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
À l’occasion de l’exposition consacrée à Georges Brassens qui se tiendra à la Cité de la musique, les deux commissaires, Clémentine Deroudille et Joann Sfar, réalisent un livre événement. Articulant textes, illustrations et très nombreuses pages de bande dessinée, cet imposant ouvrage est tant la biographie ultime de Brassens que le catalogue augmenté de l’exposition, puisqu’il présente des documents inédits - des photos, des manuscrits, etc. - exhumés pour la première fois depuis la mort du chanteur en 1981. Joann Sfar s’est emparé de cette somme extraordinaire pour dessiner l’oeuvre, la vie et la philosophie du grand chanteur populaire qu’est toujours Georges Brassens.
|
x
|
|
|
22
|
28
|
204 p.
|
Blast tome 2
L’apocalypse selon Saint Jacky
T
|
Larcenet Manu B Né en 1969 de parents connus (et gentils), il vit à Vélizy une enfance peinarde — en dehors des crises d’angoisse qui lui gâchent la vie. Vers dix ans, il se lance dans la BD, il en fait tous les jours et il n’arrêtera plus jamais. En 4ème, il crée un groupe punk-rock (nul) avec des copains. A l’âge requis (Larcenet n’est pas très fort sur les dates), il obtient le bac F12 de l’école de Sèvres — un bac qu’on vient de créer quasiment pour lui : très peu d’enseignement général et beaucoup de dessin, architecture, nu, poterie, tapisserie, etc. Un peu plus tard, il ressort des Arts appliqués avec un BTS d’expression visuelle option “images de communication”. Dans le même temps, il donne de plus en plus de concerts avec son groupe. En 1991, il tente de se faire réformer de manière assez violente, mais ça ne marche pas, et il gagne un séjour en bataillon disciplinaire — une expérience qu’il ne souhaite pas à son pire ennemi. (Quoique.) Libéré, il emménage dans un squat avec des copains musiciens et se lance à fond dans la musique, tout en continuant de dessiner. Ses dessins passent dans différents journaux de rock. Sur un coup de tête, il laisse tomber le groupe et reprend des études qu’il laisse tomber aussi parce qu’il intègre Fluide glacial en 1994. Là, il devient à la mode et tout le monde le veut : Spirou, Dupuis, Glénat, etc. C’est la belle vie, les soirées mondaines, l’argent, les filles faciles, les substances interdites… Dans la foulée, il fonde avec Nicolas Lebedel sa propre boîte d’édition, “ Les Rêveurs de runes”, où il publie quelques albums autobiographiques qui ne cadrent avec aucune structure. Vers la fin du XXe siècle (en gros), il rencontre Guy Vidal et sa collection Poisson Pilote encore en gestation. Le courant passe, et il s’installe chez Poisson Pilote avec Trondheim et Les Cosmonautes du futur, puis avec son frère Patrice Larcenet et Les Entremondes (2000 - 2001), puis tout seul avec Le Temps de chien (2002) et Le Combat ordinaire (2003). Entre-temps, en juin 2001, il quitte Paris et ses lumières pour la brousse lyonnaise — en gardant Vidal dans son téléphone. Ce virage existentiel notable nous vaut Le Retour à la terre, formidablement scénarisé par son copain Ferri. |
BD
|
|
2011
08/04/11
|
9782205067590 |
Dargaud
|
|
|
BD
-roman graphique
|
22,90 €
22.90
|
|
prochainement à Plume(s) ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Je mens.
Je mens toujours. Je dis que je ne me souviens de rien, que je suis né du matin. Je dis que je comprends, qu’à votre place, sans doute, j’aurais ri aussi. Je mens pour un peu de repos, d’indulgence, pour le pardon de ma dissemblance. Je mens aussi pour ne pas vous massacrer à mon tour. Je mens toujours car, en réalité, je me souviens de tout.
lire un extrait
|
x
|
|
|
23
|
30
|
264 p.
|
Les mondes d’Aldébaran
L’intégrale
T
|
|
BD
|
écologie, fantastique
|
2010
03/12/10
|
9782205067118 |
Dargaud
|
|
|
BD
-anticipation
|
39,00 €
39.00
|
|
épuisé
|
AA
AA
Les trois cycles des Mondes d’Aldébaran constituent incontestablement l’une des plus captivantes séries de science-fiction de ces dernières années.
Son auteur, Leo, y raconte l’effort de l’Humanité dans ses premières tentatives de coloniser des planètes lointaines. On suit de parcours de Kim sur Aldébaran d’abord, puis sur Bételgeuse et Antarès. Elle est confrontée à bien des aventures et des défis, croisant d’étranges créatures et des paysages majestueux, devant faire face aux dégâts provoqués par la folie des hommes. Cette fantastique épopée humaniste s’enrichit, en 2011, d’une série parallèle aux Mondes d’Aldébaran sous le titre Survivants (anomalies quantiques).
On y découvre une nouvelle héroïne, Manon, et un groupe de onze rescapés de l’accident qui a détruit leur vaisseau parti pour Aldébaran. Ils réussiront, à bord d’une petite navette, à se poser sur une planète inconnue située à un carrefour des routes de l’espace.
|
x
|
|
|
20,5
|
27
|
146 p.
|
Le Chat du Rabbin l’Intégrale Tome 1
Le Chat du Rabbin l’Intégrale Tome 1
T
|
Sfar Joann BIl naît à Nice en 1971, d’une mère chanteuse et d’un père avocat.
Il grandit dans la culture juive, ashkénaze et séfarade à la fois, apprend l’hébreu et les préceptes de la Torah, mais fréquente l’école publique. Très tôt, et avec l’abondance qui le caractérise encore aujourd’hui, il invente et dessine des histoires, lui dont le patronyme vient de sofer, « scribe » en hébreu. Dès l’âge de quinze ans, il envoie à des éditeurs un projet de bande dessinée par mois, que tous lui refusent avec la même régularité. Plus tard, il rencontre Fred, Baudoin et Pierre Dubois, qui resteront pour lui de véritables pères spirituels.
Après une maîtrise de philosophie à l’université de Nice, il entre aux Beaux-Arts de Paris et se passionne pour les cours de morphologie. En 1993, il passe la porte de l’atelier Nawak, futur atelier des Vosges, où il fera la connaissance de Lewis Trondheim, David B., Jean-Christophe Menu, Emmanuel Guibert, Christophe Blain, Émile Bravo, Marjane Satrapi.
Un beau mois de 1994, trois maisons différentes lui proposent d’éditer son travail. Son premier album, "Noyé le poisson", est publié cette année-là par L’Association. Depuis, avec un foisonnement qui n’a que l’apparence du désordre, Joann Sfar compose une œuvre d’une originalité absolue. La profondeur de ses histoires n’exclut jamais la drôlerie ou la sensualité. Ses personnages ont la truculence de ceux d’Albert Cohen. Et le plaisir de dessiner est chez lui aussi communicatif que chez Quentin Blake. Il est de ceux grâce auxquels la bande dessinée s’est éveillée à une vie nouvelle. |
BD
|
|
2008
14/11/08
|
9782205062533 |
Dargaud
|
|
Poisson Pilote
|
BD
-roman graphique
|
22,90 €
22.90
|
|
épuisé
|
AA
AA
Comment un chat à Alger, dans les années trente a mangé un perroquet, acquis la parole, voulu faire sa bar-mitsva et conquis des millions de lecteurs à travers le monde ? Joann Sfar, avec cette histoire toute simple mais qui touche chacun d’entre nous au plus profond de son âme, a inventé un classique immédiat, un livre qui rend un peu meilleur, un peu plus intelligent à chaque lecture.
Cette intégrale avec jaquette reprend les trois premiers tomes de la série
|
x
|
|
|
24,5
|
32
|
120 p.
|
Là où vont nos pères
T
|
Tan Shaun BIl est né, en 1974, et a grandi dans la banlieue nord de Perth, Australie.
À l’école il devint très vite connu comme « le bon dessinateur », ce qui compensa partiellement le fait d’être toujours le plus petit garçon de chacune de ses classes. Il est diplômé de l’Université Western Australia, avec des mentions en Beaux-arts et Littérature anglaise.
Il travaille actuellement en tant qu’artiste freelance et auteur, se concentrant principalement sur les livres illustrés pour la jeunesse.
Shaun a commencé le dessin et l’illustration pour la presse à l’adolescence, et depuis, il a reçu de nombreuses récompenses pour ses livres, comme le prix CBCA (Children’s Book Council of Australia) du meilleur livre illustré de l’année pour The Rabbits, avec John Marsden.
En 2001, il a été nommé Meilleur artiste aux World Fantasy Award de Montreal. Il a également reçu une mention honorable à la Foire Internationale de Bologne, ainsi que le prix “Octogones 2003“ du Centre International d’Etudes en Littérature Jeunesse, en France.
Shaun Tan a récemment travaillé pour les studios Blue Sky (L’Âge de glace) et Pixar (Toy Story, Nemo, Cars, etc.), en tant que concepteur graphique pour des films à venir.
Site personnel de Shaun Tan |
BD
|
immigration
|
2007
28/02/07
|
9782205059700 |
Dargaud
|
|
|
BD
-roman graphique
|
16,50 €
16.50
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Pourquoi tant d’hommes et de femmes sont-ils conduits à tout laisser derrière eux pour partir, seuls, vers un pays mystérieux, un endroit sans famille ni amis, où tout est inconnu et l’avenir incertain ?
Cette bande dessinée silencieuse est l’histoire de tous les immigrés, tous les réfugiés, tous les exilés, et un hommage à ceux qui ont fait le voyage...
Là où vont nos pères a reçu le fauve d’or du meilleur album 2008 au festival d’Angoulême.
|
x
|
|
|
23
|
30
|
48 p.
|
Aldébaran 2 - la blonde
T
|
Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
|
SF
|
2000
27/10/00
|
9782205049688 |
Dargaud
|
|
|
BD
-anticipation
|
13,00 €
13.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Pour les colons terriens qui occupent la planète Aldebaran, tout semble planifié. Mais peu à peu des événements insolites se produisent. Sans nouvelles de la Terre, Aldebaran est isolée. Coupés de tout contact, les habitants d’Aldebaran doivent faire face à plusieurs bouleversements aux conséquences inquiétantes. Le danger principal semble venir de l’océan d’où surgissent des créatures monstrueuses et hostiles. Mais qui possède vraiment une explication à cette évolution aussi terrifiante qu’incontrôlable ? Marc et Kim, deux adolescents qui ont survécu à l’anéantissement de leur village, rejoignent la capitale, Anatolie, afin de trouver une réponse. Une série captivante fondatrice de ce qui deviendra "Les Mondes d’Aldébaran" !
|
x
|
|
|
23
|
30
|
52 p.
|
Aldébaran 1 - la catastrophe
T
|
Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
|
SF
|
2001
08/01/01
|
9782205049671 |
Dargaud
|
|
|
BD
-anticipation
|
13,00 €
13.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Pour les colons terriens qui occupent la planète Aldébaran, tout semble planifié. Mais peu à peu des événements insolites se produisent. Sans nouvelles de la Terre, Aldébaran est isolée. Coupés de tout contact, les habitants d’Aldébaran doivent faire face à plusieurs bouleversements aux conséquences inquiétantes. Le danger principal semble venir de l’océan d’où surgissent des créatures monstrueuses et hostiles. Mais qui possède vraiment une explication à cette évolution aussi terrifiante qu’incontrôlable ? Marc et Kim, deux adolescents qui ont survécu à l’anéantissement de leur village, rejoignent la capitale, Anatolie, afin de trouver une réponse. Une série captivante qui sera bientôt suivie par un nouveau cycle : Bételgeuse.
La planète Aldebaran est coupée de tout contact avec la terre depuis un siècle. Les habitants d’Arena Blanca, un petit village de pécheurs, y mènent une vie paisible, loin du pouvoir tyrannique exercé par l’église et l’armée. Jusqu’au jour où toutes sortes de signes étranges semblent annoncer une catastrophe. Un énorme poisson des hauts-fonds vient mourir sur la plage, tandis que la mer se vide de ses poissons habituels, avant de se solidifier et d’avaler un bateau.
Et la catastrophe arrive, sous la forme d’un monstre marin qui engloutit le village sous une substance gluante. Ce monstre, qui change de forme et de comportement selon son humeur - généralement mauvaise - intéresse beaucoup de gens : Driss Shediac, un étranger énigmatique qui a essayé de prévenir les habitants, mais personne ne l’a cru. La jolie journaliste Gwendoline Lopes et surtout, l’inquiétant prêtre Loomis dans son dirigeable militaire.
Parmi les rares survivants, Marc et Kim, deux adolescents qui s’entendent comme chien et chat, décident de partir pour Anatolie, la capitale, et d’y recommencer leur vie à zéro.
Pour son premier album en solo, Léo, dessinateur de la série Trent, invente un monde envoûtant et fantastique, plein de mystères, d’embûches et d’amours compliqués, dans le très joli décor d’une planète finalement plus inquiétante que prévu.
lire un extrait
|
x
|
|
|
23
|
30
|
48 p.
|
Aldébaran 5 - la créature
T
|
Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
|
SF
|
1999
09/11/99
|
9782205049718 |
Dargaud
|
|
|
BD
-anticipation
|
13,00 €
13.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Flash-back : Aldebaran, la planète où s’est établie la première colonie humaine hors du système solaire, est aux mains d’un régime totalitaire, et nos héros sont traqués par la police. Parmi eux, Marc et Kim, rescapés du village d’Arena Blanca englouti par la bave de la mantrisse ; Alexa et Driss qui, depuis cent ans, bénéficient d’un élixir de jeunesse distribué par la même mystérieuse mantrisse.
Les voilà échoués avec leurs amis dans un gigantesque marécage infesté de monstres carnivores. Certains essaient de rejoindre la mer à dos de théodores, sympathiques herbivores, tandis que les autres descendent la rivière dans une grosse calebasse vide.
Mais alors qu’ils atteignent enfin la mer, un dirigeable se profile dans le ciel avec, à son bord, le gouvernement au complet.
Dieu merci, la mantrisse est intelligente. Elle sait reconnaître les siens et ne distribue pas son élixir de jeunesse - le plus vieux rêve de l’humanité - à n’importe qui.
Léo boucle en beauté le cycle Aldebaran, série qui se situe entre SF et fantastique, et dont le scénario envoûtant et attachant est soutenu par des inventions graphiques captivantes : les monstres sont " inédits " et franchement infects, et le fonctionnement de la mantrisse, créature d’architecture étrange et improbable, arrive à nous étonner. Heureusement, l’histoire n’est pas finie, car l’auteur nous annonce le départ d’un astronef pour Bételgeuse, constellation d’Orion...
|
x
|
|
|
23
|
30
|
48 p.
|
Aldébaran 3 - la photo
T
|
Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
|
SF
|
1999
27/10/99
|
9782205049695 |
Dargaud
|
|
|
BD
-anticipation
|
13,00 €
13.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Nous retrouvons Aldebaran, la planète où a été fondée la première colonie humaine hors du système solaire. Les habitants d’Arena Blanca y vivaient heureux, loin de la tyrannie de l’armée et de Monseigneur Algernon Loomis, jusqu’à ce qu’un monstre marin les engloutisse sous une marée de bave.
Parmi les rescapés, Marc et Kim, deux ados qui s’entendent comme chien et chat, tentent de rejoindre Anatolie, la capitale. C’est là qu’ils tombent sur "la blonde", Alexa, biologiste et amie de Driss, l’homme qui en savait long sur la catastrophe d’Arena.
Marc croupit dans une prison depuis trois ans et demi, mais Monsieur Pad, curieux petit bonhomme et magouilleur de première, le fait évader.
A Anatolie, Marc retrouve Gwen, la fille du sénateur Valdomiro Lopes, José le musicien, et Kim, qui a changé : d’ado anguleuse, elle est devenue une bien jolie jeune fille. Mais les choses n’étant jamais simples, José est amoureux de Kim, qui aime Marc, qui aime sûrement Kim mais ne le sait pas encore.
Quant à Driss et Alexa, ils sont sur une île, en train de guetter l’arrivée des grégoires, sympathiques bestioles d’environ cinq tonnes qui seraient l’une des formes de la mantrisse, le colossal monstre marin doué d’intelligence.
Pendant ce temps, Marc, Kim et Monsieur Pad s’introduisent clandestinement au musée d’Anatolie et étudient d’étranges photos qui, décidément, posent sur Alexa et Driss une foule de questions sans réponse.
Après la Catastrophe et la Blonde, le troisième volet d’une aventure envoûtante, entre fantastique et SF, pleine de mystères, d’inventions pittoresques et d’amours compliquées.
|
x
|
|
|
23
|
30
|
48 p.
|
Aldébaran 4 - le groupe
T
|
Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
|
SF
|
1999
06/10/99
|
9782205049701 |
Dargaud
|
|
|
BD
-anticipation
|
13,00 €
13.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Pour les colons terriens qui occupent la planète Aldebaran, tout semble planifié. Mais peu à peu des événements insolites se produisent. Sans nouvelles de la Terre, Aldebaran est isolée. Coupés de tout contact, les habitants d’Aldebaran doivent faire face à plusieurs bouleversements aux conséquences inquiétantes. Le danger principal semble venir de l’océan d’où surgissent des créatures monstrueuses et hostiles. Mais qui possède vraiment une explication à cette évolution aussi terrifiante qu’incontrôlable ? Marc et Kim, deux adolescents qui ont survécu à l’anéantissement de leur village, rejoignent la capitale, Anatolie, afin de trouver une réponse.
Une série captivante qui sera bientôt suivie par un nouveau cycle : Bételgeuse.
|
x
|
|
|
23
|
30
|
48 p.
|
Bételgeuse t 5 : l’autre
T
|
Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
|
|
2005
26/08/05
|
9782205056365 |
Dargaud
|
|
|
BD
-anticipation
|
13,00 €
13.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Les deux cycles existants de la collection des Mondes d’Aldébaran constituent incontestablement l’une des plus captivantes séries de science-fiction de ces dernières années.
L’auteur y raconte l’effort de l’Humanité dans ses premières tentatives pour coloniser des planètes lointaines. Kim, confrontée à bien des aventures et des défis, débute son périple sur la planète Aldébaran puis sur Bételgeuse. Elle croisera d’étranges créatures, affrontera les dangers de mondes inconnus et subira les dégâts provoques par la folie des hommes.
|
x
|
|
|
23
|
30
|
48 p.
|
Bételgeuse t 3 : l’expédition
T
|
Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
|
|
2002
04/05/02
|
9782205052312 |
Dargaud
|
|
|
BD
-anticipation
|
12,00 €
12.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Après leur arrivée périlleuse sur Bételgeuse, Kim et ses compagnons explorent cette planète, en quête de réponses sur ses habitants les plus surprenants, les lums.
Une expédition est alors organisée dans les profonds et sauvages canyons de Bételgeuse. C’est dans ce milieu hostile que Kim découvrira que le danger n’est pas forcément là où on l’attend.
lire un extrait
|
x
|
|
|
23
|
30
|
48 p.
|
Bételgeuse t 1 : la planète
T
|
Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
|
|
2000
15/01/00
|
9782205049022 |
Dargaud
|
|
Les mondes d’Aldébaran
|
BD
-anticipation
|
12,00 €
12.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Bételgeuse, planète interdite ? Les colons ont de bonnes raisons de croire au pire.
Ecosystème détraqué, monstres surgis de nulle part, dictature impitoyable, sans oublier ce vaisseau abandonné, perdu dans l’espace, qui tourne autour de Bételgeuse, tel un tombeau étincelant.
lire un extrait
|
x
|
|
|
23
|
30
|
48 p.
|
Bételgeuse t 4 : les cavernes
T
|
Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
|
|
2003
23/10/03
|
9782205054750 |
Dargaud
|
|
Les mondes d’Aldébaran
|
BD
-anticipation
|
12,00 €
12.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Les deux cycles existants de la collection des Mondes d’Aldébaran constituent incontestablement l’une des plus captivante séries de science-fiction de ces dernières années.
L’auteur y raconte l’effort de l’humanité dans ses premières tentatives pour coloniser des planètes lointaines. Kim, confrontée à bien des aventures et des défis, débute son périple sur la planète Aldébaran puis sur Bételgeuse. Elle croisera d’étranges créatures, affrontera les dangers de mondes inconnus et subira les dégats provoqués par la folie des hommes. Leo ; son auteur, met en scène dans Aldébaran puis Bételgeuse et bientôt Antarès, une fantastique épopée humaniste.
lire un extrait
|
x
|
|
|
23
|
30
|
48 p.
|
Bételgeuse t 2 : les survivants
T
|
Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
|
|
2001
01/03/01
|
9782205049879 |
Dargaud
|
|
Les mondes d’Aldébaran
|
BD
-anticipation
|
12,00 €
12.00
|
|
sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
|
AA
AA
Le vaisseau parti coloniser la planète Bételgeuse n’a plus donné signe de vie depuis six ans.
Que s’est-il passé ? Quel lien existe-t-il entre ces événements et la Mantrisse, cette mystérieuse créature qui vit dans les gigantesques océans d’Aldébaran ? Partis à la recherche de réponses, Kim et ses compagnons sont à leur tour pris au piège et doivent se poser en catastrophe sur Bételgeuse.
|