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12,5 | 19 | 340 p. |
L’info-pouvoir
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Bédéï Jean-Pierre B | essai | médias | 2008 31/01/08 | 9782742772414 | Actes Sud |
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Politique et société -médias | 21,30 € 21.30 | manquant sans date | |||||||||||||||||||||||
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Au début de la Ve République, il s’agissait de la contrôler. Vint ensuite le temps de l’information manipulée. Permanence de l’histoire : la dissimulation et le secret. Résultat de cette évolution : l’ “info-pouvoir”, dont l’actuel président de la République est à la fois le représentant et le symbole le plus en vue. L’enquête de Jean-Pierre Bédéï permet de comprendre l’essence et l’origine de la politique-spectacle d’aujourd’hui. Pour écrire ce livre, l’auteur a réuni une partie des archives de l’ex ministère de l’Information, des confidences de personnalités politiques de premier plan, celles d’hommes et de femmes qui “font” l’information, et des interviews de ceux qui la relaient. Se dégage ainsi l’évolution d’une relation dangereuse entre le pouvoir et l’info.
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14 | 20 | 272 p. |
La face cachée de Reporters sans frontières
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Vivas Maxime B | essai | international, société | 2007 16/11/07 | 9782930402697 | Aden |
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Grande Bibliothèque | Politique et société -médias | 20,30 € 20.30 | sur commande ? | ||||||||||||||||||||||
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De la CIA aux faucons du Pentagone Voici, détaillés dans ces les fréquentations douteuses, les financements honteux, les hargnes sélectives, les indulgences infondées, les tentatives de dissimulations, les manipulations des chiffres, les mensonges réitérés de Reporters sans frontières, le tout au service d’une cause sans rapport avec les objectifs affichés. Observons son ardeur au travail contre les pays pauvres que l’Occident veut soumettre et son silence face aux concentrations économiques dans les médias des pays riches. Notons sa mansuétude envers les « bavures » de l’US Army, ses « oublis » dans la comptabilisation de journalistes qui en sont victimes. Ce livre dévoile les paravents de la CIA qui alimentent RSF en dollars : le Center for a Free Cuba et la National Endowment for Democracy (NED) via l’United States Agency for International Development (USAID). Et il n’y a pas qu’eux : l’Open Society Institute du milliardaire et magnat international de la presse George Soros, ami personnel de Bush, qui s’agite partout où peut être mis en place un gouvernement pro-états-unien, fait partie aussi des généreux financiers de RSF. Alors, RSF ??? Association humanitaire ou bras médiatique européen de la CIA et des faucons du Pentagone ? |
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14 | 22 | 240 p. |
Pour une analyse critique des médias
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Pinto Eveline, Bouveresse Jacques B , Champagne Patrick, Charle Christophe | essai | société | 2007 19/01/07 | 9782914968263 | du Croquant |
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Politique et société -médias | 22,00 € 22.00 | sur commande ? | |||||||||||||||||||||||
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Cet ouvrage cherche à expliquer le mode de fonctionnement du monde journalistique et des sous-ensembles spécialisés qui constituent le paysage médiatique contemporain. De la rhétorique sécuritaire à la diffusion massive de nouvelles à forte charge émotive, des rubriques « économie » ou « politique internationale » aux publications scientifiques et culturelles, les auteurs visent à mettre en évidence les effets des mises en scène médiatiques sur l’information et la vie intellectuelle. Comment restituer à la presse sa fonction critique, si sa perte est la conséquence inéluctable des restructurations en cours ? De même qu’il y a du « jeu » dans les rouages de la machine, il y a des marges de liberté dans tout dispositif institutionnel. Ce livre tend à rendre possible une confrontation constructive entre universitaires et journalistes et à favoriser les échanges entre professionnels et chercheurs de la presse. Il cherche à tirer les conséquences de ce qu’il observe, les comportements des intellectuels médiatiques qui, par leur attitude respectueuse à l’égard de tous les pouvoirs établis, sont en train de ruiner le débat public en France, en invitant à réagir à ce constat. |
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14 | 21,5 | 146 p. |
La télé cannibale
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Lemieux Michel B | 2005 15/03/05 | 9782923165080 | Écosociété |
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Politique et société -médias | 15,20 € 15.20 | épuisé | |||||||||||||||||||||||||
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La télévision est sur la sellette depuis qu’elle existe. Tantôt décriée, tantôt louangée, elle a été l’objet d’innombrables études et d’incessants débats. Peu d’auteurs cependant se sont penchés sur l’influence qu’exerce sur les téléspectateurs le fait de consacrer, chaque jour, autant d’heures à regarder la télévision — un loisir qui constitue, avec le sommeil et le travail, l’une des trois principales occupations de la moyenne des Québécois. Dans un ouvrage qui risque d’en étonner plus d’un, Michel Lemieux comble cette lacune. Sur un ton convaincant, mais qui ne manque pas d’humour, il jette un regard incisif sur ce loisir populaire et montre comment il est devenu un esclavage dangereux, faisant des « téléphages » de véritables boulimiques et drogués du petit écran. Il étudie aussi l’offre télévisuelle qui, sous un manteau scintillant d’images et de sons saisissants, serait loin d’être à la hauteur de ses prétentions. « Observateur attentif, il secoue la conscience et la réflexion de tout lecteur par son analyse décapante des effets produits par le temps passé à regarder la télévision. Des effets pervers, influant entre autres sur le cerveau, la santé, les -relations sociales, la gestion du temps et même sur le -sentiment individuel du bonheur. » COLETTE BEAUCHAMP |
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13,5 | 21,5 | 154 p. |
Des libertés et autres chinoiseries
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Ménard Robert | essai | droits de l'homme, international, politique | 2008 08/10/08 | 9782221111642 | Robert Laffont |
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Politique et société -médias |
17.50 3,50 €
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manquant sans date, mais encore disponible à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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Les images des militants de Reporters sans frontières perturbant la cérémonie d’allumage de la flamme olympique ont fait le tour du monde. En quelques semaines, de Paris à Nagano, la petite organisation de défense de la liberté de la presse aura réussi à faire descendre dans la rue des dizaines de milliers de personnes. Son fondateur, Robert Ménard, est ainsi devenu la bête noire des autorités chinoises, le cauchemar du Comité international olympique, la cible d’une gauche radicale indulgente pour les régimes communistes et la mauvaise conscience de nombreux hommes politiques. Comment s’est préparée l’opération d’Olympie ? Pourquoi décide-t-on d’escalader Notre-Dame ? Quelle bataille s’est jouée derrière le rideau ? D’où viennent les pressions, les menaces subies par ses militants ? Qui se cache derrière les mises en cause de Reporters sans frontières ? Avec ce livre, Robert Ménard nous donne un aperçu passionnant des coulisses et un récit inédit des négociations secrètes. Un pamphlet très argumenté sur la presse, les droits de l’homme et les lâchetés d’une bonne partie de la classe politique. Complété par des fragments d’un parcours personnel marqué par l’Algérie, la rupture avec le gauchisme et la montée à Paris d’un petit provincial, c’est aussi un magnifique éloge de l’engagement. |
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11 | 18 | 141 p. |
Libération de Sartre à Rothschild
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Rimbert Pierre | essai | médias | 2005 18/11/05 | 9782912107251 | Raisons d’agir |
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Politique et société -médias | 8,00 € 8.00 | sur commande ? | |||||||||||||||||||||||
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Fondé par Jean-Paul Sartre en 1973, pour « donner la parole au peuple », Libération est passé en 2005 sous le contrôle du banquier d’affaires Édouard de Rothschild. Ces noces de la presse et de l’argent n’éclairent pas seulement le sort des journaux français livrés aux industriels. Libération fut aussi le laboratoire d’une métamorphose. Celle d’une gauche convertie au libéralisme dans les années 1980, et qui dissimule son conformisme économique derrière un rideau d’« audaces » culturelles. Au-delà de l’analyse d’un cas exemplaire, ce livre examine les ressorts d’une révolution conservatrice dans la vie intellectuelle française. |
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16 | 24 | 280 p. |
Apprendre à lire la télé
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Ceruti Christine | guide | médias | 2006 01/10/06 | 9782296016842 | L’Harmattan |
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Politique et société -médias |
27.00 5,40 €
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présent à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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Comment aider les enfants à se détacher de la télévision ? Comment faire prendre conscience aux parents de la nécessité d’un contrôle familial ? Comment transformer cet envahisseur en outil de connaissance ? Si l’on commence par admettre que la télévision est le vecteur de communication le plus populaire dans notre culture, alors l’approche peut devenir éducative en se centrant sur l’apprentissage des codes et la maîtrise de l’outil.
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24,5 | 31 | 317 p. |
Hara-Kiri
les belles images
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beaux livres | médias | 2008 16/10/08 | 9782842303334 | Hoëbeke |
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Politique et société -médias | 32,50 € 32.50 | épuisé, réédité avec l'ean 9782842306571 | ||||||||||||||||||||||||
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Le premier numéro du mensuel Hara-Kiri paraît en septembre 1960, né de la rencontre de François Cavanna, de Georges Bernier, alias le Professeur Choron, et de Fred. Le journal adopte immédiatement une ligne de conduite dont il ne se départira jamais : rire de tout. Autour de Cavanna se constitue rapidement une équipe de francs-tireurs d’élite composée, entre autres, de Reiser, Cabu, Wolinski, Gébé ou Delfeil de Ton. Première victime : la presse de l’époque, que le mensuel pastiche avec entrain, en pervertissant les mièvres romans-photos de la presse populaire, les candides fiches cuisine des journaux féminins ou encore les fiches pratiques qui deviendront les délirantes « fiches bricolage du Professeur Choron », sans oublier l’érotisme édulcoré et hypocrite des revues spécialisées. Le mensuel invente aussi le détournement de la publicité : « La publicité nous prend pour des cons, la publicité nous rend cons », déclare le journal. Une démolition allègre, systématique et caustique de la société de consommation naissante. Dès les premiers numéros, la joyeuse bande proclame le journal « Bête et méchant » pour passer aussi à la moulinette, dans un humour absurde souvent noir et brutal, tout ce qui mérite ailleurs respect et compassion : la patrie, la religion, l’armée, la morale, la maladie, la vieillesse. Victime d’interdictions de publication pour ses outrances et ses insolences, et en dépit de nombreux procès et saisies, l’aventure Hara-Kiri se poursuit durant vingt-cinq ans (le petit frère Hara-Kiri Hebdo sera créé en 1969 par la même équipe). Ces guérilleros aussi motivés qu’incontrôlables élargiront épisodiquement leur cercle à de nombreux artistes comme Francis Blanche, Romain Bouteille, Renaud ou Coluche. On voit passer au journal les amis de l époque : Serge Gainsbourg, Christian Clavier, Thierry Le Luron, Pierre Perret, Alain Souchon, Carlos, chacun à son tour protagoniste des provocants romans-photos. Hara-Kiri, une saga unique qui a révolutionné la presse et l’humour. Un humour dont la force n’a pas faibli, qui vit encore à travers les complices de la grande époque, Gourio, Vuillemin ou Berroyer et ses fils spirituels : ceux qui aujourd’hui à la télévision ou ailleurs propagent l’esprit de l’épopée féroce et éminemment inconvenante d’Hara-Kiri. |
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11 | 18 | 270 p. |
La télécratie contre la démocratie
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Stiegler Bernard B | essai | médias, démocratie | 2008 06/10/08 | 9782081217829 | Flammarion | »» | Politique et société -médias | 9,00 € 9.00 | prochainement à Plume(s) ? | |||||||||||||||||||||||
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La télécratie qui règne désormais en France comme dans la plupart des pays industriels ruine la démocratie : elle remplace l’opinion publique par les audiences, court-circuite les appareils politiques et détruit la citoyenneté. La télévision et l’appareillage technologique qui la prolonge à travers les réseaux numériques de télécommunication sont en cela devenus le premier enjeu politique. De ces effets ruineux de la télécratie, qui transforment la vie quotidienne dans ses aspects les plus intimes, les candidats au scrutin présidentiel de 2007 ne disent pas un mot : ils ont été produits par ce système. Car à travers ce que l’on appelle les industries de programmes, c’est la relation politique elle-même qui est devenue un nouveau marché, et ce marketing confine aujourd’hui à la misère politique : au cours de la dernière décennie, l’appareil télécratique a développé un populisme industriel qui engendre à droite comme à gauche une politique pulsionnelle, et qui semble conduire inéluctablement au pire. Ce devenir infernal n’est pourtant pas une fatalité. La philosophie se constitua à son origine même contre la sophistique : celle-ci, par une appropriation abusive de l’écriture, développait une gangrène qui menaçait de guerre civile la cité athénienne. De cette lutte contre les tendances démagogiques de la démocratie grecque résultèrent les formes de savoirs qui caractérisent l’Occident. Prônant un nouveau modèle de civilisation industrielle, cet ouvrage affirme qu’un sursaut démocratique contre les abus de la télécratie est possible, et appelle l’opinion publique française et européenne à se mobiliser contre la dictature des audiences.
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11 | 17,5 | 155 p. |
On achète bien les cerveaux
La publicité et les médias
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Bénilde Marie | essai | médias, publicité | 2007 15/02/07 | 9782912107312 | Raisons d’agir |
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Politique et société -médias |
8.00 2,00 €
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présent à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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Trop souvent, l’omniprésence de la publicité dans les médias est acceptée avec un mélange d’agacement et de fatalisme. Mais connaît-on le coût d’une telle résignation ? Il est élevé : une information altérée au profit d’intérêts privés, une télévision soucieuse de " vendre du temps de cerveau humain disponible ", une presse soumise aux exigences des annonceurs... Pourtant, la publicité se présente comme un art, une culture, une machine de rêves. En réalité, elle façonne des besoins de consommation, véhicule des stéréotypes, alimente la course au productivisme. Et, désormais, elle recourt aux neurosciences pour installer ses " marques " dans nos consciences. Ses agences milliardaires en ont fait un pouvoir financier ; ses conseillers en communication, un pouvoir politique ; son influence sur la presse, un pouvoir médiatique. Bien plus qu’une émanation superficielle de l’ordre économique, la " pub " est un rouage essentiel. |
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13,6 | 22 | 196 p. |
Les éditocrates
Ou Comment parler de (presque) tout en racontant (vraiment) n’importe quoi
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Fontenelle Sébastien B , Chollet Mona B , Cyran Olivier B , Reymond Mathias B | essai | médias | 2009 12/10/09 | 9782707158697 | la Découverte |
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Politique et société -médias | 13,50 € 13.5 | manquant sans date | |||||||||||||||||||||||
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Vous les connaissez bien. Leur visage et leur voix vous sont familiers. Ils signent tous les jours un éditorial dans la presse écrite ; ils livrent une chronique chaque matin sur une antenne de radio ; ils occupent les plateaux des grandes - et des petites - chaînes de télévision ; chaque année, voire plusieurs fois par an, leurs nouveaux livres envahissent les tables des librairies. " Ils ", ce sont les " éditocrates ". Ils ne sont experts en rien mais ils ont des choses à dire sur (presque) tout et, à longueur de journée, ils livrent à l’auditeur-lecteur-téléspectateur-citoyen leurs commentaires creux ou délirants sur le monde comme il va et comme il devrait aller. Sentencieux, ils racontent (à peu près) tous la même chose et dans (presque) tous les domaines, que ce soit sur la vie politique, la crise économique, les problèmes de société, les questions internationales, etc. Pontifiants, ils répètent à tout bout de champ qu’ils sont "politiquement incorrects" - alors qu’ils sont les plus illustres représentants du conformisme intellectuel. A travers dix portraits drôles et corrosifs, ce livre dévoile l’imposture de ces professionnels de la pensée-minute. |
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12,5 | 20 | 153 p. |
L’affaire Colonna
Une bataille de presse
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Amaté Gérard B | essai | médias | 2009 04/09/09 | 9782916913216 | Bayol Jean-Paul |
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Politique et société -médias |
14.90 7,45 €
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présent à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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Le 27 mars 2009, Yvan Colonna fut, pour la seconde fois, condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour le meurtre du préfet Erignac, à l’issue d’un procès joué d’avance, par une cour d’assises spéciale héritière de la très décriée Cour de Sûreté de l’État. Cette condamnation, prononcée sans preuve et sans aveux après des débats qui n’avaient pu démontrer la culpabilité de l’accusé, suscita l’indignation. On parla d’une nouvelle Affaire Dreyfus. Mais, contrairement à ce qui s’était passé durant l’Affaire, ce n’est pas la gauche qui se mobilisa au profit de Colonna. Bien évidemment, les journaux rendirent compte des procès mais les rôles traditionnellement dévolus à la presse de gauche’ et à la presse de droite ont été dans cette triste mascarade totalement chamboulés. Certains journaux s’indignèrent de cette justice d’exception. La plupart se turent. D’autres aidèrent au crime. On assista alors à un spectacle étrange. Une presse, prétendument soucieuse des droits de l’homme et des libertés fondamentales, préféra à ces principes affichés ceux de la raison d’État, alors que des quotidiens réputés plus conservateurs s’indignaient du comportement des juges et d’une condamnation prévisible, décidée à l’avance et ailleurs que devant une cour de justice. L’éditeur le propose au format pdf : Livre au format PDF (gratuit). |
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11,5 | 17 | 307 p. |
Rideau de fer sur le boul’mich
Formatage et désinformation dans le monde libre
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Salem Jean B | essai | médias | 2009 01/09/09 | 9782915854176 | Delga |
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Politique et société -médias | 12,20 € 12.20 | prochainement à Plume(s) ? | |||||||||||||||||||||||
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Il ne se passe guère d’année qui ne nous crédite de son lot de « révolutions orange » (Ukraine, Biélorussie, Tibet, Xinjiang, Bolivie, etc.). À ce rythme très soutenu, le système et ses porte-voix ne font que broder sur un canevas conçu trente ans plus tôt : l’opération qui, à l’Est, fit passer un demi-milliard d’individus d’une relative sécurité sociale à la jungle de la concurrence libre et non faussée. Les ex-Soviétiques y auront perdu dix ans d’espérance de vie et la diminution de moitié de leur production industrielle. Mais ils peuvent néanmoins jouir du droit formel d’aller vivre à Beverley Hills... Du mur de Berlin au mur de l’argent, Jean Salem retrace ici la saga grotesque et dramatique qui précéda ces événements, avec son ballet de belles âmes narcissiques et de dissidents sponsorisés. Quand les défenseurs de Solidarnosc jetaient un voile pudique sur les contras de Reagan... Quand Soljenitsyne vantait les mérites du franquisme et du Chili de Pinochet... Quand Mitterrand, ancien ministre de la guerre d’Algérie, inventait la « gauche morale »... Vingt ans après la victoire du « monde libre », il est temps de passer au crible les mécanismes de ce qui fut et demeure une véritable propagande de guerre. |
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11,5 | 20 | 120 p. |
Jaurès, la passion du journaliste
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Silvestre Charles B | essai, histoire | médias | 2010 25/10/10 | 9782841098491 | Le Temps des cerises |
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Petite Collection Rouge | Politique et société -médias | 12,00 € 12.00 | actuellement indisponible | ||||||||||||||||||||||
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Jaurès est d’un autre siècle. Mais, à y regarder de plus près, voici un destin de journaliste qui, aujourd’hui, en laisserait plus d’un rêveur.
La plume a la couleur, le souffle du reportage.
Jaurès ne peut soulever un problème - guerre ou protection sociale - sans lui donner une réponse. Son journalisme est agissant. Dix lignes de lui, et tout de suite cette impression d’un esprit libre parlant à d’autres esprits libres. L’indépendance de sa démarche sonne comme un rappel quand la suspicion de dépendance économique et politique pèse sur la presse. Ces traits se retrouvent au fil des trois étapes décisives de sa « Grande Boucle » : « La Dépêche », le quotidien de Toulouse, son école du journalisme, depuis 1887, où il signera 1312 articles jusqu’en 1914 ; « La Petite République », son organe de combat dans l’affaire Dreyfus, de 1898 à 1903 ; « L’Humanité », depuis qu’il la fonde le 18 avril 1904 jusqu’à son assassinat le 31 juillet 1914, où 2650 textes portent son nom. C’est dans ce journal, où culminent son éthique et son art visionnaire, qu’il donne sa définition « éditoriale » du socialisme : « réaliser l’Humanité par des moyens d’humanité ». Jaurès ou les noces heureuses du journalisme et de la politique. Ce parcours a inspiré le livre de Charles Silvestre « JAURES JOURNALISTE » portant en sous-titre une citation de l’intéressé dans un article inaugural : « pour réaliser la justice, il faut le coup d’oeil et le coup d’aile ». L’ouvrage se nourrit d’une passion pour cette oeuvre qui redonne goût ( et exigence ) à la lecture d’une presse en grave crise de confiance, du côté des journalistes comme du côté des lecteurs. |
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11 | 17,5 | 109 p. |
Comprendre Wikileaks
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Tesquet Olivier B , Cavaillez Aleksi B | essai | médias | 2011 27/05/11 | 9782315002856 | Max Milo |
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Politique et société -médias | 9,99 € 9.99 | sur commande ? | |||||||||||||||||||||||
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Qui est capable aujourd’hui de donner une définition valable et globale de WikiLeaks ?
Comment est née cette organisation ? Avec quels moyens ? Qui est vraiment son créateur, Julian Assange ? Comment travaille son équipe ? Peut-on considérer WikiLeaks comme un nouveau modèle journalistique ? Quelles questions pose-t-il aux gouvernements ? Quelle est son influence réelle sur le monde ? Quelles sont ses limites ? Olivier Tesquet, en contact avec les équipes de Julian Assange et qui suit WikiLeaks depuis ses débuts, répond à travers ce petit guide simple et complet à nos interrogations, et nous permet de comprendre l’histoire et le fonctionnement d’une telle organisation, ainsi que les nouvelles questions qu’un tel site pose en terme de démocratie, de journalisme et de législation.
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15,8 | 24,1 | 318 p. |
TV lobotomie
La vérité scientifique sur les effets de la télévision
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Desmurget Michel B | essai | télévision | 2011 03/02/11 | 9782315001453 | Max Milo |
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L’inconnu | Politique et société -médias |
19.90 9,95 €
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présent à Plume(s) | ||||||||||||||||||||||
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Sophie, 2 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela double ses chances de présenter des troubles attentionnels en grandissant. Lubin, 3 ans, regarde la télé 2 heures par jour. Cela triple ses chances d’être en surpoids. Kevin, 4 ans, regarde des programmes jeunesse violents comme DragonBall Z. Cela quadruple ses chances de présenter des troubles du comportement quand il sera à l’école primaire. Silvia, 7 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela augmente de plus d’un tiers ses chances de devenir une adulte sans diplôme. Lina, 15 ans, regarde des séries comme Desperate Housewives. Cela triple ses chances de connaître une grossesse précoce non désirée. Entre 40 et 60 ans, Yves a regardé la télé 1 heure par jour. Cela augmente d’un tiers ses chances de développer la maladie d’Alzheimer. Henri, 60 ans, regarde la télé 4 heures par jour. René, son jumeau, se contente de la moitié. Henri a 2 fois plus de chances de mourir d’un infarctus que René. Chaque mois, les revues scientifiques internationales publient des dizaines de résultats de ce genre. Pour les spécialistes, dont fait partie l’auteur, il n’y a plus de doute : la télévision est un fléau. Elle exerce une influence profondément négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l’attention, l’imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme, l’alcoolisme, la sexualité, l’image du corps, le comportement alimentaire, l’obésité et l’espérance de vie. Ces faits sont niés avec un aplomb fascinant par l’industrie audiovisuelle et son armée d’experts complaisants. La stratégie n’est pas nouvelle : les cigarettiers l’avaient utilisée, en leur temps, pour contester le caractère cancérigène du tabac... |
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12 | 22 | 210 p. |
L’emprise de l’image
De Guantanamo à Tarnac
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Paye Jean-Claude B | essai | image | 2011 14/10/11 | 9782364290020 | Yves Michel |
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Société civile | Politique et société -médias | 14,20 € 14.20 | épuisé | ||||||||||||||||||||||
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Essai sur l’emprise de l’image au détriment de l’État de droit, étayé par la prison de Guantanamo (prison US sur le sol cubain hors de tout cadre légal) et "l’affaire de Tarnac", où des citoyens se sont vus accuser du sabotage d’une ligne TGV au seul motif de leur profil social. Une mise en cause essentielle du "tout sécuritaire" et des lois et procès "terroristes". Il articule critique juridique, politique et concepts de la psychanalyse. Il porte sur l’annulation de la fonction du langage au profit du règne de l’image dans notre société. |
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11 | 17,5 | 155 p. |
Les nouveaux chiens de garde
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Halimi Serge B | essai | médias | 2005 18/11/05 | 9782912107268 | Raisons d’agir |
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Raisons D’agir | Politique et société -médias | 8,00 € 8.00 | sur commande ? | ||||||||||||||||||||||
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Les médias français se proclament " contre-pouvoir". Mais la presse écrite et audiovisuelle est dominée par un journalisme de révérence, par des groupes industriels et financiers, par une pensée de marché, par des réseaux de connivence. Alors, dans un périmètre idéologique minuscule, se multiplient les informations oubliées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements factices, les services réciproques. Un petit groupe de journalistes omniprésents - et dont le pouvoir est conforté par la loi du silence - impose sa définition de l’information-marchandise à une profession de plus en plus fragilisée par la crainte du chômage. Ces appariteurs de l’ordre sont les nouveaux chiens de garde de notre système économique.
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14 | 20,5 | 173 p. |
Le Droit de savoir
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Plenel Edwy B | essai | médias, politique | 2013 14/03/13 | 9782359490961 | Don Quichotte |
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Politique et société -médias | 14,00 € 14.00 | épuisé | |||||||||||||||||||||||
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S’agissant des affaires publiques, la publicité doit être la règle et le secret l’exception. Rendre public ce qui est d’intérêt public est toujours légitime. Tout document qui concerne le sort des peuples, des nations et des sociétés mérite d’être connu de tous afin que chacun puisse juger sur pièces, choisir pour agir, influer sur la politique des gouvernements. Si, en démocratie, le peuple est souverain, alors la politique menée en son nom ne saurait être l’apanage d’experts et de spécialistes, d’élites et de professionnels, seuls destinataires des informations légitimes, et agissant comme des propriétaires privés d’un bien public. Preuve en est la diabolisation par les puissants de la « transparence » notamment revendiquée par Mediapart, comme si le journal réclamait un droit inquisitorial à percer les secrets alors que, au contraire, ses curiosités n’ont jamais porté que sur des sujets d’intérêt public (Karachi, Bettencourt, Kadhafi…). Ce livre entend démontrer l’utilité de ce droit de savoir comme accélérateur de la prise en main de leur destinée par les peuples, alors que la crise en cours ne cesse de les en déposséder. Tandis que l’opacité et le secret protègent la corruption et l’injustice et que des murailles, y compris inconscientes, se dressent devant le légitime droit de savoir dès que les journalistes l’illustrent par des curiosités dérangeantes, l’information se révèle toujours un appel à la liberté. Fondé sur l’expérience de Mediapart, Le Droit de savoir recense les obstacles qui se sont dressés en travers de son chemin pour empêcher l’information et les enquêtes ; le livre revient sur les filatures, les écoutes, les campagnes de diffamation, les plaintes de l’ancien gouvernement.
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11 | 18 | 182 p. |
Les chiens de garde
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Nizan Paul B | essai | 2012 10/03/12 | 9782748901719 | Agone |
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Eléments | Politique et société -médias | 8,00 € 8.00 | prochainement à Plume(s) ? | |||||||||||||||||||||||
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L’actualité des Chiens de garde, nous aurions préféré ne pas en éprouver la robuste fraîcheur. Nous aurions aimé qu’un même côté de la barricade cessât de réunir penseurs de métier et bâtisseurs de ruines. Nous aurions voulu que la dissidence fût devenue à ce point contagieuse que l’invocation de Nizan au sursaut et à la résistance en parût presque inutile. Car nous continuons à vouloir un autre monde.
L’entreprise nous dépasse ? Notre insuffisance épuise notre persévérance ? Souvenons-nous alors de ce passage par lequel Sartre a résumé l’appel aux armes de son vieux camarade : "Il peut dire aux uns : vous mourez de modestie, osez désirer, soyez insatiables, ne rougissez pas de vouloir la lune : il nous la faut. Et aux autres : dirigez votre rage sur ceux qui l’ont provoquée, n’essayez pas d’échapper à votre mal, cherchez ses causes et cassez-les." Serge Hamili Extrait de la préface. |