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11 | 18 | 112 p. |
Manifeste contre le travail
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Krisis | essai | société | 2004 01/03/04 | 9782264037251 | 10/18 |
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Fait et cause | Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 6,40 € 6.40 | épuisé | ||||||||||||||||||||||
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Il y a cent cinquante ans, Marx affirmait la nécessaire sortie du capitalisme par le moyen de la lutte des classes. Cent vingt ans plus tard, l’Internationale situationniste, emmenée par Guy Debord et Raoul Vaneigem, élargissait la définition du prolétariat et mettait en cause la société du travail et de la consommation. Le Manifeste contre le travail reprend la critique là où les situationnistes l’avaient arrêtée. Dans une société obsédée par la « valeur travail » et l’effroi que suscite sa possible disparition, ce petit livre-manifeste reprend le combat contre la transformation de l’homme en « ressource humaine ». Il rappelle qu’une émancipation digne de ce nom ne peut faire l’économie d’une critique radicale de l’idéologie du travail. Autrement dit, il ne s’agit pas de libérer le travail, mais de se libérer du travail.
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11 | 18 | 480 p. |
Retour sur la condition ouvrière
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Beaud Stéphane B , Pialoux Michel B | essai | société | 2005 06/04/05 | 9782264039293 | 10/18 |
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Fait et cause | Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 10,15 € 10.15 | épuisé | ||||||||||||||||||||||
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Que sont devenus les ouvriers ? Objet de toutes les attentions depuis la révolution industrielle jusqu’aux années 1980, les travailleurs d’usine n’intéressent plus grand monde après l’échec du projet communiste et l’effondrement de leurs bastions industriels. Brisée dans son unité, démoralisée, désormais dépourvue de repères politiques, méprisée par ses enfants, la classe ouvrière vit un véritable drame - à l’écart des médias. Certes, les ouvriers continuent d’opposer avec un succès relatif certaines de leurs traditions de résistance à la dynamique qui les détruit. Cette remarquable enquête, sensible et documentée, fait toute sa place à la parole ouvrière, elle rend hommage à ces hommes et à ces femmes dont la dignité est aussi imposante que celle dont firent preuve leurs parents à l’heure des victoires.
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12 | 21 | 432 p. |
Grain de sable sous le capot
Résistance & contre-culture ouvrière : les chaînes de montage de Peugeot (1972-2003)
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Durand Marcel B | mémoires | société | 2006 13/10/06 | 9782748900606 | Agone |
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Mémoire{{S}}ociales | Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme |
23.40 7,00 €
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présent à Plume(s) | ||||||||||||||||||||||
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Préface de Michel Pialoux. Réédition revue et augmentée (première édition La Brèche, 1990). D’autres ouvriers auraient pu écrire cette chronique de la chaîne à Peugeot-Sochaux, que j’ai signée du pseudonyme de Marcel Durand pour ne pas m’approprier cette mémoire collective. Je prenais des notes à l’occasion d’événements marquants : prises de gueule avec le chef, rigolades entre collègues, débrayages, grèves. Je voulais garder une trace de cette vie à la chaîne, décrire l’ambiance du travail. Pour moi. Pour les copains de galère aussi. Pour faire une sorte d’album de famille de la dizaine de vrais copains de la Carrosserie. Huit heures par jour au boulot, ce n’est pas rien. Même si on résiste, la chaîne déteint sur nous. En ville, on continue de courir comme si on était toujours à s’agiter autour des carcasses de bagnoles. On parle fort parce que les machines ne s’arrêtent jamais de nous vriller les oreilles. On laisse des plumes au boulot. Plusieurs copains y ont laissé leur peau. Écrit par un ouvrier de Sochaux qui a passé trente ans en chaîne, ce livre raconte la vie au jour le jour d’un OS de base. Il montre comment l’usine ne cesse d’exercer sa violence et comment une résistance, à la fois spontanée et organisée, se manifeste sous des formes toujours nouvelles face aux « innovations » du management.
Parution : 13/10/2006
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9 | 15 | 71 p. |
Le droit à la paresse
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Lafargue Paul B | essai | travail | 2007 01/10/07 | 9782353460182 | Altiplano |
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Flash-back | Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 5,10 € 5.10 | manquant sans date | ||||||||||||||||||||||
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4e de couverture : Une étrange folie possède les classes ouvrières des nations où règne la civilisation capitaliste. Cette folie traîne à sa suite des misères individuelles et sociales qui, depuis des siècles, torturent la triste humanité. Cette folie est l’amour du travail, la passion moribonde du travail, poussée jusqu’à l’épuisement des forces vitales de l’individu et de sa progéniture. Au lieu de réagir contre cette aberration mentale, les prêtres, les économistes, les moralistes, ont sacro-sanctifié le travail. Hommes aveugles et bornés, ils ont voulu être plus sages que leur Dieu ; hommes faibles et méprisables, ils ont voulu réhabiliter ce que leur Dieu avait maudit. Moi, qui ne professe d’être chrétien, économe et moral, j’en appelle de leur jugement à celui de leur Dieu ; des prédications de leur morale religieuse, économique, libre penseuse, aux épouvantables conséquences du travail dans la société capitaliste. L’ouvrage : Le Droit à la paresse a été publié pour la première fois sous forme de feuilleton en 1881. |
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19,5 | 25 | 190 p. |
Merci patron
Conflits sociaux en 2006
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Grémillet Muriel | essai | société | 2007 30/11/06 | 9782846261289 | Au Diable Vauvert |
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Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme |
29.00 5,80 €
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épuisé, mais encore disponible à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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Après l’annonce d’une fermeture, d’une restructuration ou d’un plan de licenciement, que se passe-t-il ? Souvent, un combat de longue haleine mené par un syndicaliste, une occupation d’usine pour réclamer un traitement digne, parfois une révolte sourde et la destruction de l’outil de travail. Des situations chaque fois différentes mais qui, mises bout à bout, racontent une réalité : la disparition d’un certain monde ouvrier et industriel. Un monde qui fait vivre des villages et des régions entières. Disparition qui se fait dans une relative indifférence, sans trop de vagues. Pourtant, ces histoires racontent bien plus que le travail ou les mutations économiques. Elles mettent à jours des solidarités, mais également des déceptions. L’importance de l’usine, de l’atelier, d’une vie qui tourne autour du travail. Elles focalisent sur la brutalité de la sphère économique qui ne s’embarrasse plus de négociations, ne laisse plus de porte de sortie, ne ménage pas les plus vieux, les plus fidèles ou les plus abîmés par le labeur. Suivre ces conflits sur la durée, retourner voir les salariés de ces entreprises, autorise à dépasser le moment de l’émotion, et, à la veille de l’élection présidentielle, de raconter une France des oubliés. De mettre en lumière ces maltraités qui n’ont parfois plus d’autre recours que de détruire leur outil de travail pour se faire entendre. À l’occasion de ces luttes, ces hommes et ces femmes découvrent qu’ils ne sont pas que des collègues mais qu’ils partagent aussi un même destin, une fraternité, et sont capables de renverser l’implacable logique économique. Les lieux
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13 | 20 | 140 p. |
Salariés si vous saviez
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Filoche Gérard B | essai | travail | 2008 31/01/08 | 9782707152732 | la Découverte |
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Sur le vif | Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme |
10.20 5,10 €
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épuisé, mais encore disponible à Plume(s) | ||||||||||||||||||||||
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« Le droit du licenciement doit être assoupli », « les 35 heures n’ont pas profité aux salariés », « les charges sociales sont trop lourdes », « les fonctionnaires sont des privilégiés », « à terme, on ne pourra plus financer les retraites », etc. Telles sont quelques-unes des idées reçues qui dominent le débat public sur le travail en France. En dix réponses critiques, chiffres à l’appui, Gérard Filoche bat ici en brèche ces préjugés distillés par la vulgate néolibérale pour tenter de liquider un siècle de conquêtes sociales et justifier une vaste offensive contre les droits de la majorité écrasante – plus de 90 % – de la population active : les salariés. Le salariat représente une puissance sociale dont il n’a pas conscience, face à une organisation patronale qui s’efforce par tous les moyens de le diviser pour faire régner l’ordre du marché. Pourtant – les exemples récents des grèves de 1995 et de la mobilisation contre le contrat première embauche en 2006 l’ont bien montré –, c’est en s’unifiant autour de la défense du Code du travail, des salaires, des horaires et des statuts que l’on pourra agir sur les conditions de l’emploi et la redistribution des richesses. |
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15,5 | 22 | 264 p. |
Toyota, l’usine du désespoir
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Kamata Satoshi | doc | travail | 2008 20/03/08 | 9782354570057 | Demopolis |
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Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme |
21.00 4,20 €
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épuisé, mais encore disponible à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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Le "système de production Toyota" est désormais connu dans le monde entier. Il a fait des émules et ses méthodes de management sont présentées comme un des éléments de la réussite incontestable du groupe automobile japonais. Pourtant, ce succès industriel ne se fait pas sans "casse" humaine. Kamata Satochi, journaliste d’investigation japonais, s’est fait embaucher pendant plusieurs mois sur une chaîne de Toyota. Toyota, l’usine du désespoir est le journal qu’il a tenu pendant cette période. Stress, maladies professionnelles, suicides : cela se passait en 1976. Cela se passe toujours aujourd’hui. Kamata Satochi nous montre l’envers du décor du miracle Toyota. Premier producteur mondial d’automobiles, Toyota est également le plus rentable. Quel est le secret de cette réussite exceptionnelle, souvent présentée comme un modèle ? Pour le comprendre, il faut se rendre avec l’auteur au coeur du système Toyota, dans les usines de Nagoya au Japon. Au fil de ce document, véritable journal autobiographique, Kamata Satochi relate son expérience quotidienne d’ouvrier intérimaire sur les chaînes de montage. Dans ces usines, les plus performantes du monde, c’est le règne de la fatigue et du stress provoqués par l’augmentation constante des cadences de production et les horaires variables dûs à la flexibilité de la production. Le travail en équipe, présenté comme un progrès, fonctionne en fait comme un redoutable mécanisme de pression exercé par les ouvriers entre eux. Les changements de poste fréquents, décrits comme un élargissement des compétences, alimentent le stress et les risques d’accidents. L’augmentation continue de la productivité, le fameux "système de production Toyota", peut engendrer maladies professionnelles, accidents et, dans des cas extrêmes, suicides. La titularisation éventuelle des intérimaires sert de levier pour réduire leurs protestations dans un système qui laisse peu de place aux syndicats. A l’usine Toyota de Valenciennes, dans le Nord de la France, comme au Japon et partout dans le monde, les méthodes de management de type Toyota dopent les profits des entreprises. Sans souci du prix payé par les travailleurs. Satoshi Kamata est un célèbre journaliste japonais. Né en 1938, il s’installe à Tokyo à l’âge de 18 ans. D’abord ouvrier tourneur dans un atelier, il travaille ensuite dans une imprimerie. Après avoir participé à la création d’une section syndicale, il est licencié. Il entreprend alors des études de littérature japonaise à l’université Waseda. Il écrit un grand nombre d’articles et de livres à partir d’enquêtes sur le monde du travail. C’est ainsi qu’en 1972, il décide de se faire engager pour six mois chez Toyota à Nagoya. Il décrit son expérience, sous la forme d’un journal, dans Toyota, l’usine du désespoir qui devient un best-seller. Réédité plus de 15 fois depuis sa publication en 1973, ce livre n’a rien perdu de sa force. Satoshi Kamata est également l’auteur de Japon : l’envers du miracle, traduit à La Découverte (1982) et Les Japonais ne sont pas ceux que vous croyez, chez Ellebore (1993). |
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16 | 24 | 84 p. |
Le temps choisi
un nouvel art de vivre pour partager le travail autrement
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Plassard François B | essai | développement durable, travail, art de vivre | 2007 09/01/07 | 9782843770043 | ECLM – Charles Léopold Mayer | »» | Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme |
8.2 0,80 €
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manquant sans date, mais encore disponible à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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Un ouvrage qui pose différemment la question de la réduction du temps de travail en s’appuyant sur une expérience de partage du travail fondé sur une utilisation originale des allocations de chômage. Et sur la conviction que notre activité devrait être orientée vers un bien de plus en plus rare : le lien social. Pour que le temps permette de devenir auteur de sa vie.
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10,5 | 15 | 106 p. |
Les nouveaux hérétiques
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Otxandi Mari B | essai | travail | 2007 30/06/07 | 9782913842458 | Gatuzain | Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 6,00 € 6.00 | sur commande ? | ||||||||||||||||||||||||
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A l’heure de la réhabilitation de la valeur travail et de la glorification de ceux qui se lèvent tôt, il est mal vu de s’interroger sur les tenants et aboutissants de cette offensive généralisée. A quand la requalification en crime ? Pourtant, quelques irréductibles résistent, brandissant les armes de l’imagination, de la solidarité, de l’autonomie… L’idéologie du travail n’est pas nouvelle : on la retrouve dans la plupart des grands courants de pensée qui ont traversé l’Histoire. Mais la revendication du droit à la paresse a elle aussi ses adeptes, à commencer par l’un des théoriciens du mouvement socialiste : Paul Lafargue.
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11,5 | 21 | 144 p. |
El Ejido, terre de non droit
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Forum civique européen | reportage | immigration, international | 2000 01/12/00 | 9782914475211 | Golias |
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Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 12,04 € 12.04 | épuisé | |||||||||||||||||||||||
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Souvenez-vous, les 5,6 et 7 février 2000, la population de la ville andalouse d’El Ejido se livre à un véritable pogrom à l’encontre de la communauté immigrée : chasse à l’étranger provoquant une soixantaine de blessés, destructions de logements et de locaux, des organisations civiques attaquées.
La police ne réagit qu’après trois jours, pour éviter des morts qui auraient fait scandale. Les réactions au niveau européen n’ont pas l’ampleur du cri d’alarme suscité par l’arrivée au pouvoir, peu avant, d’un parti d’extrême-droite en Autriche. Depuis, aucune arrestation, aucune excuse. Pas un seul avocat de la région n’accepte de détendre les plaignants. C’est l’Omerta. Ces émeutes racistes se sont produites dans une zone d’agriculture hyper-intensive qui a transformé un lieu quasi désertique en premier centre européen d’exportation de primeurs, aux énormes besoins de main d’œuvre.
Autour d’El Ejido, il y a 30.000 hectares de serres plastiques ; dans la ville, 49 banques et une librairie ! El Ejido est considéré comme un miracle économique par les adeptes du néolibéralisme. La politique de fermeture des frontières de l’Union Européenne et l’obligation pour la plupart des étrangers - hors forteresse Europe - d’obtenir un visa fait exploser le marché juteux de l’immigration clandestine.
C’est à ce prix que nous mangeons des poivrons en février. Une commission internationale du Forum Civique Européen s’est rendue sur place et tente d’élucider les inquiétantes synergies qui ont mené à cette flambée de haine. Un an après les faits, l’ouvrage "El Ejido, terre de non droit", éclaire d’une manière nouvelle ces événements tragiques commis à nos portes, dans l’indifférence générale.
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13,5 | 22 | 392 p. |
Harcèlement au travail ou nouveau management
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Ariès Paul B | essai | société, travail | 2002 25/10/02 | 9782914475365 | Golias |
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Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 22,00 € 22.00 | épuisé | |||||||||||||||||||||||
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Avec des pratiques toujours plus uniformisantes et déshumanisantes communes à de multiples grandes entreprises, le nouveau management s’apparente à du harcèlement. L’auteur dresse ici un constat d’échec des nouveaux modes de management. Ce livre né de débats et voué à nourrir des actions, est destiné aux salariés et aux militants qui ne comprennent plus leur entreprise.
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13 | 20 | 160 p. |
Salariés de l’amiante, employés de l’indifférence
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Faesch Caroline | essai | santé, amiante | 2002 17/04/02 | 9782914475259 | Golias |
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Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme |
13.00 2,60 €
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épuisé, mais encore disponible à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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Alors que d’autres affaires ont bénéficié d’un battage médiatique sans commune mesure, l’affaire de l’air contaminé suscite bien peu d’émois. Ce livre met en lumière les défaillances passées et présentes des pouvoirs publics et des organismes de contrôles, défaillances qui condamnent, aujourd’hui, les anciens salariés de l’amiante à rester des victimes.
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18 | 25,5 | 144 p. |
Putain d’usine
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Levaray Jean-Pierre B , Efix | BD | travail | 2007 20/09/07 | 9782849490914 | Petit à petit |
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Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 13,10 € 13.10 | épuisé | |||||||||||||||||||||||
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Une usine où rôde la mort et où les instants sont tissés d’ennui, d’angoisse et de fatigue... Une usine où les jeux vidéo remplacent peu à peu la belote pour tuer le temps... Une usine où l’on attend le grand licenciement, sous la menace de la grande explosion... Une usine de produits chimiques, similaire à celle d’AZF - dont la désintégration ensanglanta et dévasta Toulouse en 2001 - et appartenant à la même sinistre multinationale... C’est sans fioritures que Jean-Pierre Levaray raconte avec force le quotidien d’une classe ouvrière qui, loin d’être allée au paradis, se morfond dans un purgatoire oublié. Englués dans la grisaille, confrontés au mépris et à la morgue des décideurs et gestionnaires, les prisonniers du boulot oscillent entre les tentations de la révolte et les affres de la résignation... ... l’ensemble sous le trait sans concession d’Efix qui est entré dans ce texte comme on entre en résistance : le poing levé ! |
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15 | 21 | 173 p. |
IWW, le syndicalisme révolutionnaire aux États-Unis
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Portis Larry | agriculture | 2003 01/10/03 | 9782902963485 | Spartacus | Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 12,00 € 12.00 | sur commande ? | |||||||||||||||||||||||||
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" La mission historique de la classe ouvrière est de supprimer le capitalisme.
L’armée des producteurs doit être organisée non seulement pour la lutte quotidienne contre les capitalistes, mais aussi pour prendre en mains la production quand le capitalisme aura été renversé. En nous organisant par les industries, nous formons la structure de la nouvelle société à intérieur même de l’ancienne ". Première manifestation du syndicalisme révolutionnaire aux Etats-Unis, les IWW ont écrit l’un des chapitres les plus héroïques de l’organisation de la classe ouvrière états-unienne.
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10,5 | 16,5 | 130 p. |
Supprimer les licenciements
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Garrouste Laurent B | essai | société, travail | 2006 01/03/06 | 9782849500828 | Syllepse |
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Arguments et mouvements | Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 8,11 € 8.11 | sur commande ? | ||||||||||||||||||||||
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Les luttes de résistance aux licenciements ne débouchent le plus souvent que sur une négociation défensive des réductions d’effectifs. L’idée même de mettre un terme au fléau des licenciements se heurte toujours à l’opinion dominante selon laquelle la flexibilité des effectifs serait le résultat de lois économiques incontestables. Avec la mondialisation, les capitaux circulent librement et mettent en concurrence les salariés à travers le monde afin d’obtenir les niveaux de rentabilité très élevés qu’exige la finance. Dans ces conditions d’hyper-concurrence, les restructurations deviennent un processus permanent : redécoupages des firmes et délocalisations se multiplient, exerçant un chantage constant sur les salariés et entraînant à chaque fois leur cortège de licenciements. Sous prétexte de faciliter les créations d’emplois, les politiques libérales ne font qu’accompagner ce mouvement. La « modération » salariale et les baisses de cotisations employeurs ne servent qu’à augmenter des profits qui ne se réinvestissent pas ; les « réformes » du marché du travail visent à faciliter de nouvelles formes de gestion, en précarisant les emplois et en vidant progressivement le droit du travail de tout contenu. Ce livre propose un changement de perspective en se demandant pourquoi et comment mettre fin aux licenciements. Pourquoi ? Parce qu’il n’est plus possible de se plier à cette logique infernale où l’emploi passe après la rémunération des actionnaires. Comment ? En réfléchissant sur deux principes essentiels : d’abord, le principe de continuité du rapport salarial. Il ne faut plus que les employeurs puissent rompre unilatéralement le contrat de travail en abandonnant les travailleurs à leur sort. Le statut de salarié doit devenir permanent, avec les garanties de droits et de revenu qui l’accompagnent. Dans le même temps, le principe « responsable-payeur » doit assurer un financement mutualisé, couvert par les entreprises, des conséquences sociales de la gestion concurrentielle de la main-d’œuvre. Gestion dont celles-ci sont globalement responsables en économie de marché alors qu’elles en reportent de plus en plus la charge sur la collectivité. Ces deux principes, combinés avec d’autres orientations de politique économique et sociale, esquissent un projet alternatif global qui permet de donner une nouvelle perspective aux luttes contre les licenciements. |
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12 | 21 | 160 p. |
Ces ouvriers aux dents de lait
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Baffert Sigrid B | doc, pamphlet | travail des enfants | 2006 25/09/06 | 9782748504835 | Syros |
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Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 7,70 € 7.70 | épuisé | |||||||||||||||||||||||
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A travers trois histoires qui se font écho, ce livre dévoile le quotidien d’enfants mis au travail, dès leur plus jeune âge, dans l’industrie textile. Song et Chai, qui s’éreintent aujourd’hui dans un atelier clandestin en France, Corentin, le petit apprenti bonnetier de Troyes à l’aube de la révolution de 1848 ou encore Naïla, employée dans une fabrique de tapis à Fez dans les années soixante, sont trois reflets d’une même réalité. Celle de ces ouvriers aux dents de lait contraints de survivre dans un univers d’adultes. Des récits édifiants et bouleversants, suivis d’un dossier complet sur le travail des enfants : les nombreuses formes sous lesquelles il se manifeste dans le monde, les principales causes identifiées, les solutions que l’on peut envisager. |
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11 | 19 | 160 p. |
Contre le travail
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Godard Philippe B | essai | société, travail | 2005 30/06/05 | 9782915129090 | Homnisphères | Expression directe | Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 12,00 € 12.00 | épuisé | |||||||||||||||||||||||
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La remise en cause du travail est une remise en cause du « sens de la vie ». Et je postule que si l’homme ne peut se passer de travailler, il ne peut se passer non plus de critiquer le travail car loin d’être supérieur aux autres activités humaines, le travail en est au contraire la lie puisqu’il empêche, par la place qu’il occupe dans la vie et dans les rapports sociaux, la création et l’invention d’autres rapports. Si priver l’homme de son travail revient à le priver de son cerveau et de ses mains, à en faire un zombie puisqu’il ne sait guère faire autre chose que travailler ou recomposer ses forces pour attaquer un nouveau cycle de travail, il nous faudrait alors constater que notre évolution a réduit l’homme à un être dont le cerveau et les mains ne servent plus qu’une seule fin : le travail. Et abandonner toute critique, “ nous imaginer heureux ”, comme le disait Camus... |
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11 | 18,5 | 89 p. |
Manifeste des chômeurs heureux
Rapport d’inactivité n°1 Berlin 1996
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essai | travail | 2006 01/07/06 | 9782916542003 | Le Chien Rouge |
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Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 8,20 € 8.20 | épuisé | ||||||||||||||||||||||||
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Le chômage ? Pas un problème, peut-être une solution. Comme une traînée de poudre, cette vérité qu’on n’énonçait jusque-là qu’en privé circule maintenant à travers le monde. Personne n’a envie de travailler, mais tout le monde a besoin de fric. Grâce à l’automatisation, le travail disparaît. Ce serait une excellente nouvelle si la richesse était sociale. Mais la question est posée par le capital : comment résorber les travailleurs inutiles ? La logique économique aurait déjà rétabli l’esclavage si elle n’avait aussi besoin de consommateurs. Les chômeurs heureux blasphèment contre un tel chagrin. Un de ces jours, avant qu’il rien finisse avec nous, nous en finirons avec le travail. |
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13 | 19,9 | 224 p. |
Le travail, non merci !
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Dorival Camille B | essai | travail | 2011 10/02/11 | 9782915879858 | Les Petits Matins |
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Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme | 16,00 € 16.00 | manquant sans date | |||||||||||||||||||||||
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Travailler plus pour gagner (peut-être) plus, travailler le dimanche, travailler plus longtemps … La « valeur travail » voit ses actions grimper plus que jamais ! Un drôle de paradoxe dans une société qui compte quatre millions de chômeurs et où la souffrance s’invite souvent au contrat. A rebours de ce discours, ils sont de plus en plus nombreux à refuser de mettre le travail au centre de leur vie. Ils assument de ne pas travailler, ou le moins possible. Cela ne les empêche pas d’être actifs : ils s’investissent dans des associations, ont une activité créatrice. Corollaire évident : ils consomment moins, ou différemment. Ni flemmards ni profiteurs, ils ont souvent un regard politique sur ce mode de vie. Certains prônent même la décroissance : une frugalité volontaire, un refus de la consommation à outrance, afin de préserver les ressources de la planète. Le livre propose de nombreux portraits de ces objecteurs de travail, et interroge : à quoi sert le travail pour chacun d’entre nous ? Peut-on vivre sans travailler ? Le temps libre est-il condamnable ? Le « revenu d’existence » est-il une utopie réaliste ? Economistes et sociologues (Dominique Méda, Denis Clerc, Alain Lipietz …) apportent leur pierre au débat. |
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15,5 | 24 | 420 p. |
Notre usine est un roman
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Rossignol Sylvain B | essai | 2008 08/07/08 | 9782707154620 | la Découverte |
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Empêcheurs de penser en rond | Politique et société -entreprises, travail, syndicalisme |
21.40 4,30 €
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présent à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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Ce livre est une première : jamais l’histoire d’une grande entreprise n’avait encore été écrite de cette façon, du point de vue de ses salariés. Après une longue lutte menée contre la fermeture d’un site de recherche pharmaceutique à Romainville, en région parisienne, des salariés de Sanofi-Aventis ont voulu raconter leur histoire collective du milieu des années 1960 à nos jours. Ils se sont regroupés en association et ont confié leurs témoignages à un écrivain qui a conçu ce livre comme un roman. Les trajectoires des personnages – ouvriers, cadres, techniciens, chercheurs – en forment la trame, à la fois chronique d’un site industriel et roman choral, récit intimiste et épopée contemporaine. Leur parcours dessine un demi-siècle d’histoire : celle des conditions de travail héritées du « paternalisme » industriel, de l’occupation de l’usine en Mai 68, de l’élection de François Mitterrand, de la vie syndicale au quotidien, du féminisme, des conséquences de la mondialisation, des fractures au sein du mouvement ouvrier… C’est le portrait d’une génération avec ses joies, ses espoirs et aussi ses désillusions qui est racontée ici de manière vivante et imagée. Aucun ouvrage théorique sur le capitalisme ou la condition sociale ouvrière n’aurait pu le faire aussi bien. |