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16 | 24 | 192 p. |
Mourir partir revenir le jeu des hirondelles
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Abirached Zeina | BD | international, Liban | 2007 22/10/07 | 9782916589039 | Cambourakis |
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BD -roman graphique | 20,00 € 20.00 | sur commande ? | |||||||||||||||||||||||
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Le projet de Zeina Abirached « En avril dernier, sur le site de l’INA, qui venait de mettre ses archives en ligne, je suis tombée sur un reportage sur Beyrouth en 1984. Les journalistes interviewaient les habitants d’une rue située sur la ligne de démarcation. Bloquée à cause des bombardements dans l’entrée de son appartement – l’entrée était souvent la pièce la plus sûre car la moins exposée –, une femme au regard angoissé dit une phrase qui m’a donné la chair de poule. Cette femme, c’était ma grand-mère. J’étais à Paris et tout d’un coup, sur l’écran de mon ordinateur, ma grand-mère faisait irruption et m’offrait un bout de notre mémoire. Ça m’a bouleversée, je me suis dit que c’était peut-être le moment d’écrire enfin le récit qui me travaillait depuis un moment déjà.
Nous sommes à Beyrouth, dans les années 80, au 38 de la rue Youssef Semaani, et plus précisément, dans l’entrée de l’appartement du premier étage.
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13,5 | 18,5 | 96 p. |
Je me souviens
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Abirached Zeina | BD | Liban | 2008 03/12/08 | 9782916589251 | Cambourakis |
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BD -roman graphique | 13,10 € 13.10 | sur commande ? | |||||||||||||||||||||||
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À la manière du Je me souviens de Perec, Zeina Abirached évoque des scènes de son enfance et de son adolescence à Beyrouth, dans un Liban en guerre, jusqu’à son départ pour Paris en 2006. Si, dans cette mosaïque de souvenirs, la mémoire est marquée par la peur constante, les privations et la dureté de la vie, elle est aussi celle des moments heureux où l’on arrive à oublier la guerre. Par un constant décalage du regard vers ce qui permet de continuer à vivre, Zeina Abirached mêle au récit des difficultés du quotidien celui des jeux de l’enfance, évoquant avec humour la cueillette d’éclats d’obus par son petit frère, ou le sadisme d’un coiffeur qui l’amocha durant toute son adolescence. On retrouve dans Je me souviens la tension, caractéristique de l’œuvre de Zeina Abirached, entre un dehors hostile où la guerre fait rage et l’espace familier d’une intimité protectrice. Ce quatrième opus est sans doute celui qui s’ouvre le plus vers le monde extérieur, la distance et l’humour créant de salutaires espaces de liberté. |